Anne Françoise COULOUMY

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Publications

Préface au catalogue de l'exposition (Octobre 2009)

Galerie Etienne de Causans

par Jean-Marie Baldner (historien et journaliste)

 Un escalier, rue de Paradis, saisi dans les quelques marches qui mènent au palier et s'en échappent. Sur le palier irradié de lumière, une porte close. Sous le paillasson, une lettre. Signe ou symbole d'une rencontre, d'une invitation, d'une complicité ou d'une attente ? L'intérieur d'un appartement. Une pièce vide, dans la pénombre. L'appartement ne semble pas occupé. Mais quelques objets, abandonnés sur le sol, ...  (Lire l'article)

(2008)

par Frédéric Missenard - Psychanalyste

 La découverte de la peinture d’Anne Françoise Couloumy a été pour moi bouleversante. Je me suis intéressé, pour tenter de le saisir, à ce qui pouvait fonctionner dans l’impact émotionnel que j’ai pu constater chez ceux à qui je l’ai fait découvrir. Une réaction immédiate peut être une défense, évoquant la froideur, ou la perfection technique ...  (Lire l'article)

(2008)

par Anne Gorouben - Peintre

 Je me souviens de ta première exposition…Il y avait de grands tableaux sombres,le vent soufflait dans les bannières, de grandes foules étaient rassemblées. Ces foules venaient d’un autre temps. Je les ai revues plus tard, vêtues d’amples manteaux, de longues robes,de pauvres jupons, d’attentes indéfinies et inquiètes ... (Lire l'article)

(2008)

par Serge Guillaume - Auteur

 Dans la production antérieure d'Anne-Françoise Couloumy, les œuvres qui m'intéressent sont celles qui me plaisent le moins. Formes humaines indéfinissables, nomades aux faibles quinquets dans un espace glauque, loin de la luminosité qui irradie de la majeure partie de ses toiles. Pour celles-ci, laissez le soleil se coucher, baissez la lumière chez vous, vous serez ravi par la clarté qui émane de la toile, qu'elle s'y glisse par quelque fente, une porte, une fenêtre ... (Lire l'article)

CAHIER ART NO 33 « FAITES ENTRER L’INFINI » (Juin 2002)

Anne-Françoise Couloumy - Les abymes de lumière

par Jacques MOANO

 Sans doute prisonniers de notre culture, à moins que ce ne soit par peur de l'inconnu, nous découvrons rarement une oeuvre sans avoir instinctivement puisé dans la mémoire de nos références. La peinture d'Anne-Françoise Couloumy n'y échappe pas ... (Lire l'article)

Préface au catalogue de l'exposition de novembre 2001 (Juillet 2000)

Galerie Etienne de Causans

par Françoise GRANGER

 Extrait d’une lettre à ma fille Eva - C’est une oeuvre bouleversante, d’intensité toujours, de gravité souvent : il y a là un mystère auquel tu sens que tu pourras accéder, l’essence même de la vie. Jamais aucune peinture ne m’a autant remuée ... (Lire l'article)

Préface au catalogue de l'exposition (Octobre 1997)

Galerie Etienne de Causans

par Eric-Emmanuel SCHMITT

 Un tableau qui serait bien plus qu’un tableau … Cette peinture-là dit des choses essentielles, au-delà du beau, des qualités de facture et de maîtrise formelle. Elle parle comme une grande oeuvre littéraire, - celle de Pascal ou de Dostoïevsky – de la condition humaine, de l’étonnement d’exister. A l’évidence, c’est une âme, non des pinceaux, qui vient occuper la toile de manière impérieuse, ferme, compacte, nécessaire ... (Lire l'article)

La gazette de l'hotel Drouot (Novembre 1996)

par Marc HERISSE

 Sens du clair-obscur et de la lumière, sens de la perspective, palette subtile et nuancée dans une dominante de couleurs froides : telles sont les belles qualités de cette artiste de 35 ans qui, dans ses dernières oeuvres, semble s’être dédramatisée même si certains de ses sujets, comme les couloirs d’hôpitaux ou les salles d’attente, ont pu figurer parmi les thèmes de ses deux expositions précédentes. Le souvenir des Hollandais du XVIIe, et de Vermeer notamment, plane sur certaines toiles ... (Lire l'article)

Arts actualités magazine (Novembre 1996)

Un regard de Couloumy

par C. GRENTE

 Sans doute prisonniers de notre culture, à moins que ce ne soit par peur de l'inconnu, nous découvrons rarement une oeuvre sans avoir instinctivement puisé dans la mémoire de nos références. La peinture d'Anne-Françoise Couloumy n'y échappe pas ... (Lire l'article)

Le Républicain (Novembre 1996)

par Stéphanie HASENDAHL

 Depuis 4 ans qu’elle se consacre à la peinture Anne-Françoise COULOUMY expose régulièrement à Paris. Son travail sur la lumière, sa volonté de suggérer la présence humaine, d’inviter le regard à pénétrer à l’intérieur de ses tableaux suscitent l’engouement d’un nombreux public. Deviendrait-elle une valeur à la mode, elle que l’on considérait à l’Ecole des Arts Décoratifs comme «un peintre ringard» ? ... (Lire l'article)

Journal France-Amérique (Novembre 1996)

Anne-Françoise Couloumy : Un Hopper français

par Olivia de COUPIGNY

 Sans doute prisonniers de notre culture, à moins que ce ne soit par peur de l'inconnu, nous découvrons rarement une oeuvre sans avoir instinctivement puisé dans la mémoire de nos références. La peinture d'Anne-Françoise Couloumy n'y échappe pas ... (Lire l'article)

La gazette de l'hotel Drouot (Novembre 1995)

par MARC HERRISSE

 Dans une belle matière lisse et satinée et dans des tonalités souvent froides de verts sombres et de bronzes que viennent réveiller des éclairages dorés indirects, cette jeune artiste de 34 ans sait susciter le mystère dans ses scènes d’intérieur qu’habitent des êtres errants ou désorientés ... (Lire l'article)

Le Républicain (Decembre 1989)

« Anne Françoise COULOUMY à la Pernoderie de Créteil, un talent prometteur »

par C. GRENTE

 Anne françoise COULOUMY, peintre figuratif, présente actuellement à la Pernoderie de Créteil, et ce jusqu’au 14 décembre, une collection personnelle de 27 toiles et 13 dessins. Une oeuvre particulièrement attachante tant par le choix des sujets, que par la densité de la palette ... (Lire l'article)

Préface de l’exposition à la pyramide Pernod (1989)

Poème de Jacques GAUCHERON

 Quelle mémoire abolie - Quelles réminiscences - Travaillent l’espace nocturne - Avec les somptuosités glauques des visions - Les résonances virides au bord du noir ... (Lire l'article)

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